Certaines maladies neurodégénératives, comme la Maladie d’Alzheimer et la Dégénérescence FrontoTemporale, peuvent entraîner des modifications du comportement habituel, comme la façon de se comporter avec ses proches, ou avec des inconnus. Ces « troubles du comportement » sont souvent mal compris et parfois mal reconnus, par les personnes malades elles-mêmes, mais aussi par les professionnels de santé.
Pour s’adapter dans notre société, connaitre les codes sociaux, savoir bien les repérer et les appliquer, il est essentiel de reconnaitre les émotions des autres et de comprendre les contextes sociaux. Nous regroupons ces compétences sous le nom de « cognition sociale ».
Pourtant, aujourd’hui, l’évaluation neuropsychologique pratiquée dans les hôpitaux ou en cabinet ne permet souvent pas d’évaluer la « cognition sociale ». Les habiletés qu’on y évalue (la mémoire, le langage, les capacités de réflexion, de calcul) ne sont que très peu liées aux changements de comportement social.
Nous pensons que les troubles du comportement sont liés à des difficultés de cognition sociale. Toutefois, à notre connaissance, il n’existe aucune étude ayant étudié le lien entre ces deux choses. Ce lien entre cognition sociale et troubles du comportement, nous souhaitons l’étudier dans l’étude à laquelle nous vous proposons de participer. Nous souhaitons également voir quelles régions du cerveau sont impliquées dans ces aspects.
Pour ces raisons, nous souhaitons vous proposer un nouveau bilan neuropsychologique, évaluant la cognition sociale, ainsi qu’une IRM du cerveau. En parallèle, nous demanderons à la personne qui vous accompagne de compléter des questionnaires à votre sujet. Ces trois aspects nous permettront de répondre à notre question et de faire avancer la recherche, grâce à votre participation.
Certaines maladies neurodégénératives, comme la Maladie d’Alzheimer et la Dégénérescence FrontoTemporale, peuvent entraîner des modifications du comportement habituel, comme la façon de se comporter avec ses proches, ou avec des inconnus. Ces « troubles du comportement » sont souvent mal compris et parfois mal reconnus, par les personnes malades elles-mêmes, mais aussi par les professionnels de santé.
Pour s’adapter dans notre société, connaitre les codes sociaux, savoir bien les repérer et les appliquer, il est essentiel de reconnaitre les émotions des autres et de comprendre les contextes sociaux. Nous regroupons ces compétences sous le nom de « cognition sociale ».
Pourtant, aujourd’hui, l’évaluation neuropsychologique pratiquée dans les hôpitaux ou en cabinet ne permet souvent pas d’évaluer la « cognition sociale ». Les habiletés qu’on y évalue (la mémoire, le langage, les capacités de réflexion, de calcul) ne sont que très peu liées aux changements de comportement social.
Nous pensons que les troubles du comportement sont liés à des difficultés de cognition sociale. Toutefois, à notre connaissance, il n’existe aucune étude ayant étudié le lien entre ces deux choses. Ce lien entre cognition sociale et troubles du comportement, nous souhaitons l’étudier dans l’étude à laquelle nous vous proposons de participer. Nous souhaitons également voir quelles régions du cerveau sont impliquées dans ces aspects.
Pour ces raisons, nous souhaitons vous proposer un nouveau bilan neuropsychologique, évaluant la cognition sociale, ainsi qu’une IRM du cerveau. En parallèle, nous demanderons à la personne qui vous accompagne de compléter des questionnaires à votre sujet. Ces trois aspects nous permettront de répondre à notre question et de faire avancer la recherche, grâce à votre participation.